Here as I sit
At this empty café
Thinking of you
I remember
All those moments
Lost in wonder
That we'll never
Find again
Though the world
Is my oyster
It's only a shell
Full of memories
And here by the Seine
Notre-Dame casts
A long lonely shadow

Now, only sorrow
No tomorrow
There's no today for us
Nothing is there
For us to share
But yesterday

These cities may change
But there always remains
My obsession
Through silken waters
My gondola glides
And the bridge, it sighs

I remember
All those moments
Lost in wonder
That we'll never
Find again
There's no more time for us
Nothing is there
For us to share
But yesterdays

Ecce momenta
Illa mirabilia
Quae captabit
In aeternum
Memor
Modo dolores
Sunt in dies
Non est reliquum
Vero tantum
Comminicamus
Perdita

Tous ces moments
Perdus dans l'enchantement
Qui ne reviendront
Jamais
Pas d'aujourd'hui pour nous
Pour nous il n'y a rien
A partager
Sauf le passé

Tous ces moments
Perdus dans l'enchantement
Qui ne reviendront
Jamais


Lyrics submitted by bruiseviolet

Song for Europe Lyrics as written by Andrew Edwin Mackay Andrew Mackay

Lyrics © BMG Rights Management, Universal Music Publishing Group

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A Song for Europe song meanings
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    When Paul Thompson comes in after the first few lines - pounding like a heart overwhelmed with melancholy - thunderously nostalgic - this song is like dark reflections passing under the bridge of time...

    The Latin and French really bring in a primordial element of romance and sorrow.

    Reminds me of Baudelaire's poem " le Balcon"

    Mère des souvenirs, maîtresse des maîtresses, Ô toi, tous mes plaisirs! ô toi, tous mes devoirs! Tu te rappelleras la beauté des caresses, La douceur du foyer et le charme des soirs, Mère des souvenirs, maîtresse des maîtresses!

    Les soirs illuminés par l'ardeur du charbon, Et les soirs au balcon, voilés de vapeurs roses. Que ton sein m'était doux! que ton coeur m'était bon! Nous avons dit souvent d'impérissables choses Les soirs illuminés par l'ardeur du charbon.

    Que les soleils sont beaux dans les chaudes soirées! Que l'espace est profond! que le coeur est puissant! En me penchant vers toi, reine des adorées, Je croyais respirer le parfum de ton sang. Que les soleils sont beaux dans les chaudes soirées!

    La nuit s'épaississait ainsi qu'une cloison, Et mes yeux dans le noir devinaient tes prunelles, Et je buvais ton souffle, ô douceur! ô poison! Et tes pieds s'endormaient dans mes mains fraternelles. La nuit s'épaississait ainsi qu'une cloison.

    Je sais l'art d'évoquer les minutes heureuses, Et revis mon passé blotti dans tes genoux. Car à quoi bon chercher tes beautés langoureuses Ailleurs qu'en ton cher corps et qu'en ton coeur si doux? Je sais l'art d'évoquer les minutes heureuses!

    Ces serments, ces parfums, ces baisers infinis, Renaîtront-ils d'un gouffre interdit à nos sondes, Comme montent au ciel les soleils rajeunis Après s'être lavés au fond des mers profondes? – Ô serments! ô parfums! ô baisers infinis!

    NomadMonadon March 30, 2012   Link

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